Tout savoir sur le D.S.M, la bible des psychiatres
Le DSM: qu’est-ce que c’est ?
Pourquoi est-ce que j’en parle ?
Consulter ce livre est-il profitable quand on a des angoisses ?
Ce livre est-il fiable ?
Ce qu’il faudra retenir:
Les manuels DSM ne sont pas du tout adaptés pour faire une évaluation du psychisme humain,
Ces manuels qui se prétendent “diagnostique” ne le sont pas,
Ils ne sont pas fiables.
Ce que ça change pour vous :
Ne consultez jamais un professionnel qui se réfère à ce manuel
Ne propagez plus les noms des maladies et des troubles énumérés (dans vos conversations ou sur les réseaux sociaux) dans ce manuel comme s’il s’agissait de vérités scientifiques
Ne jouez plus les médecins pour vous même ou vos proches sur la base de cet ouvrage
Soyez prêts à recevoir des éclaircissements sur votre angoisse en dehors des systèmes de soins classiques
Méfiez-vous des recommandations de l’Organisation Mondiale de la Santé, de l’Association de Psychiatrie Américaine et en général de tous les gros organismes officiels
Pour savoir si vous avez des angoisses conditionnelles, faites notre test.
Le DSM qu’est-ce que c’est ?
Le DSM ”Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders” (en français, Manuel de diagnostic et de statistique sur les troubles mentaux), est un livre de classification.
Il est considéré depuis 1980 comme une référence pour détecter et traiter diverses affections mentales dont les angoisses, les troubles de l’anxiété et le stress, la dépression etc. On y trouve aussi répertoriés les troubles mentaux des enfants et petits enfants : autisme, T.D.A.H, dys, etc.
Le DSM c’est la “Bible des maladies mentales”, des médecins, des psychiatres et des pédopsychiatres.
Tous les diagnostics et les traitements thérapeutiques et médicamenteux que font les psy et les pédopsy sont basés sur ce livre.
L’étude de son contenu fait partie de la formation professionnelle de ces gens.
Pourquoi est-ce que j’en parle ?
Quand nous sommes dans l’angoisse, et avant de savoir la vérité, nous sommes nombreux à chercher des informations sur les affections psychologiques dans ce livre : le manuel DSM.
La plupart du temps nous sommes persuadés que le problème vient de nous. Nous essayons de comprendre avec ce livre ce qui nous arrive. Nous pensons trouver dans cet ouvrage le nom de notre trouble et le moyen d’y remédier.
A l’époque où mes angoisses étaient au plus fort, je m’étais procuré un exemplaire du DSM pour comprendre de quoi souffrait mon ex-mari.
J’avais fini par comprendre que c’était lui qui était en très grande partie à l’origine de mes angoisses dont je voulais me débarrasser. Au début, je pensais qu’il n’y avait qu’une seule raison pour qu’il se comporte ainsi avec moi : il devait souffrir d’un trouble psychologique important.
Résultat ?
Avec le DSM, j’ai trouvé de quoi passer quelques nuits blanches et j’ai indiscutablement enrichi mon vocabulaire de fan de psycho.
En fait, j’ai surtout beaucoup mieux compris ce qui se passe dans la tête des psychologues et des psychiatres.
Par contre, n’est sorti de cette lecture rien de concrètement bénéfique. Car, un diagnostic c’est bien mais encore faut-il qu’il soit fiable et qu’il y ait derrière de nouvelles choses à mettre en oeuvre. Or, il faut le savoir, le DSM est tombé de son piédestal, il n’est plus considéré par beaucoup de spécialistes comme un ouvrage permettant des soins appropriés sur la base de diagnostics sûrs.
Cela change tout pour tous les angoissés “traités” avec des protocoles médicaux et psychiatriques établis sur les critères de cet ouvrage.
Consulter ce livre est-il profitable quand on a des angoisses, est-il fiable ou non ?
La réponse est NON.
Le DSM est désormais récusé par la profession (voir ci-dessous). J’affirme quant à moi depuis des années qu’il est inutile et dangereux.
Les diagnostics d’angoisse qui sont posés par les psychiatres sont erronés, car établis à partir du DSM soit établis à partir d’une classification de symptômes de référence qui est:
– non-exhaustive, c’est-à-dire qu’elle ne traite pas du sujet d’étude à fond et sans rien omettre – constituée d’un labyrinthe bien plus propre à fausser les problèmes qu’à les résoudre
– une promotion orchestrée en grande partie par les laboratoires pharmaceutiques, les Big Pharma
– collectée initialement depuis un manuel diffusé par l’armée de terre des États-Unis…
Nous lisons bien: “diffusé par l’armée de terre des États-Unis”… et “promotion orchestrée en grande partie par les laboratoires pharmaceutiques “
LE CONTEXTE social et personnel est primordial dans la guérison des angoisses
surtout dans le cadre des angoisses les plus communes : les angoisses conditionnelles.
Avec le psy qui part de cette classification, on fait les choses à l’envers:
1/ le psy part de vos symptômes pour coller un titre de maladie. ” Comment vous sentez-vous ? ” alors ” Vous souffrez de ceci “
2/ une fois que la personne se sent malade de quelque chose de bien déterminé (névrose de ceci ou cela, trouble anxieux généralisé, dépression etc.) et prend ses médicaments, on se demande ce que le corps veut dire par là. “Qu’avez-vous vécu ?”. Comme la personne malade a besoin de parler, cette étape est très longue…”revenez, la semaine prochaine.” D’où le nombre faramineux de personnes engluées dans des années et des années de suivi psychiatrique ou thérapeutique.
3/ Enfin, après de nombreuses séances le psy demande d’agir sur les éléments les plus déterminants pour que les choses changent.
En attendant que ce long chemin soit parcouru, vous aurez été “soulagé” par des médicaments psychiatriques plus ou moins légers qui changent votre corps et votre esprit… Quizz de la personne qui est réellement suivie dans ce cas puisque sa perception des choses et ses ressentis sont profondément chamboulés par les médicaments d’une part et par la dépendance envers le psy qu’elle a dorénavant d’autre part.
On part du principe que si la personne n’a pas résolu son ou ses problèmes seule, c’est qu’un trouble mental handicapant l’en empêche. C’est faux.
Le célèbre DSM (Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders) est désormais inutile et dangereux
Ce qu’ils en disent :
Wikipédia donne la signification de ce sigle puis rapporte les propos édifiants des psys eux-mêmes (ceux qui sont compétents) sur la fiabilité du DSM.
Le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (également désigné par le sigle DSM, abréviation de l’anglais : Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders) est un ouvrage de référence publié par l’Association américaine de psychiatrie (American Psychiatric Association ou APA) décrivant et classifiant les troubles mentaux.
Il faut déjà savoir que cette association est sujette à caution: autoproclamée, elle affirme des choses sans vérification scientifique. C’est notoirement une antenne-relais des laboratoires pharmaceutiques.
Son évolution
En outre, le manuel évolue initialement à partir des statistiques collectées depuis des hôpitaux psychiatriques – où des individus sont enfermés parfois sur simple demande d’un conjoint ou d’une patrouille de police – et depuis un manuel diffusé par… l’armée de terre des États-Unis.
On ne s’étonnera pas de cela puisque comme vous allez le découvrir le fondateur du laboratoire à l’origine de la rédaction du DSM a dirigé le War Research Service , qui a lancé le programme américain d’armes biologiques avec Frank Olson pendant la Seconde Guerre mondiale. Il était sur la couverture de Timemagazine du 18 août 1952, illustrant une histoire sur l’industrie américaine de la drogue. (Wikipédia)
Histoire du laboratoire à l’origine du MSD et des Manuels MSD
Merck and Co., Inc., Kenilworth, NJ, États-Unis (connu sous le nom de MSD en dehors des États-Unis et du Canada) est un leader mondial dans le domaine de la santé et oeuvre au bien-être du monde. Du développement de nouveaux traitements permettant de traiter et de prévenir des maladies à l’aide des personnes dans le besoin, nous nous engageons à améliorer la santé et le bien-être des personnes dans le monde entier.
Le manuel a été publié pour la première fois en 1899 à titre de service à la communauté. L’héritage de cette merveilleuse ressource prend à présent la forme du Manuel Merck aux États-Unis et au Canada et du Manuel MSD en dehors de l’Amérique du Nord. En apprendre davantage à propos de notre engagement envers la Connaissance Médicale Mondiale.
Une montagne de mensonges
On constate l’auto-proclamation de sauveur du monde par le “leader mondial dans le domaine de la santé” . On notera l’appellation de “merveilleuse ressource” qui prends la forme du manuel Merck.
La vidéo de présentation vous apprendra que Merk est le laboratoire qui en 1987 a mis sur le marché les premières satines pour faire baisser le cholestérol et le vaccin contre le col de l’utérus chez les jeunes filles en 2006. Ces deux traitements font l’objet d’un scandale sanitaire. Sans compter le soutien de cette industrie aux nouvelles tendances morales: LGBT ect. La vidéo est conclue par la citation d’un des Directeurs, Ken Frazier:
“Chez MSD, nous réalisons une forme d’innovation extrêmement risquée, elle s’appelle invention.”
Il surenchérit en ajoutant :
“En partie à cause de MSD, le monde est aujourd’hui un monde plus sain, plus fort et plus optimiste”, a déclaré Ken Frazier, PDG de MSD.
Et bien, vu l’état de la société américaine après 100 ans de psychiatrisation et vu l’état du monde (du moins des pays qui ont fait allégeance à cet ouvrage) on peut tout de même en douter sans grand culot !
De quoi faire réfléchir.
Largement utilisé, le manuel fait toutefois l’objet de critiques. Des psychanalystes considèrent qu’établir des statistiques fiables sur des troubles dont seul le côté visible est pris en compte est sujet à caution, que c’est changer l’origine des troubles en cause.
Le psychiatre Henri Ey :
On ne peut pas tenir ces énumérations pour le moindre essai sérieux de classification. Il s’agit d’un « pot-pourri » inextricable d’« items » en nombre presque infini, destinés, nous dit-on, à mettre de l’ordre dans les statistiques; elles constituent un labyrinthe bien plus propre à fausser les problèmes qu’à les résoudre.
Le DSM 5 Coté institutions politiques en France
Depuis 40 ans, on en finit plus de surconsommer
en 1995, le rapport rédigé par Mr Edouard Zarifian, psychiatre hospitalo universitaire à Caen, à l’issue de sa “mission générale concernant la prescription et l’utilisation des médicaments psychotropes en France” (commandé par Simone Veil et Philippe Douste-Blazy ) rapporte
“la tendance grandissante des médecins (généralistes et psychiatres) à n’aborder la psychologie et la psychopathologie de leurs patients que par la recherche du symptôme isolé.
Cette approche réductionniste découle d’une utilisation abusive du DSM en pratique médicale, lequel était à l’origine un répertoire de critères diagnostiques destiné à la recherche. Cette utilisation généralisée du DSM est largement encouragée par l’industrie pharmaceutique, avec la complicité des milieux académiques.
Toujours une question d’argent
La multiplication des symptômes “potentiellement pathologiques” dans le DSM conduit à une généralisation de la prescription de psychotropes, laquelle pourrait s’accentuer encore au cours des prochaines années, notamment pour ce qui concerne les antidépresseurs.
Cette situation est préoccupante car les effets indésirables des psychotropes sont mal connus aujourd’hui, en l’absence d’une pharmacovigilance spécifique à ces médicaments. Pour Edouard Zarifian, la situation actuelle témoigne aussi d’un regrettable glissement de la frontière entre le normal et le pathologique.
Le symptôme est apparemment univoque pour celui qui ne le considère que d’une manière comptable ; et c’est à cette dimension comptable que conduit l’usage du DSM. La situation devient caricaturale : on réduit la souffrance d’un être unique à un symptôme, décrit dans un catalogue et on ignore son contexte social ou personnel.
Ce que confirme Daniel Lemler:
Voilà le DSM promu en nosologie psychiatrique ! (Nosologie: Discipline médicale qui étudie les maladies afin de les classifier)
Les seuls avantages que l’on puisse trouver au DSM sont de fournir un descriptif très détaillé des manifestations cliniques de type psychiatrique et de proposer une échelle globale de fonctionnement qui rend assez bien compte du degré d’invalidation causée par les troubles. L’utilisation du Manuel permet de produire des descriptions cliniques précises, sur lesquels un accord est possible. Malheureusement il n’est pas fiable, sauf dans quelques cas précis auxquels il est adapté.
“il n’est pas fiable, sauf dans quelques cas précis”
Il a pour inconvénient la parcellisation clinique, l’élimination de l’histoire individuelle et de l’étiologie, ce qui est inacceptable. Il aboutit à un codage syndromique qui n’est absolument pas un diagnostic. Un diagnostic en médecine depuis la fin du XVIIIe siècle ne s’établit pas de manière purement classificatoire et empirique, mais par la mise en œuvre d’une conception étiologique appliquée au cas individuel.
“Ce manuel qui se prétend “diagnostique” ne l’est pas.”
Ce manuel qui se prétend “diagnostique” ne l’est pas. C’est plutôt un système de codage des syndromes et traits de caractère, résultat de l’idéologie béhavioriste, qui a ensuite été institué en instrument de contrôle administratif. Il n’est que moyennement adapté au contrôle administratif puisqu’il institue des biais ; il ne l’est pas du tout pour une évaluation du psychisme humain.
Le DSM, bible controversée
Le site Philosophie, science et société:
Les intentions annoncées pour élaborer le DSM sont excellentes : donner une vue d’ensemble globalisante de la personne et améliorer la fidélité de l’instrument clinique de façon à ce qu’un accord soit possible entre praticiens. Malheureusement, le résultat n’est pas conforme au but annoncé.
Chaque année des suppressions ou ajouts attestent du caractère instable de cette classification délirante, le DSM 5:
Par exemple: sur la suppression des épisodes mixtes dans les troubles bipolaires, La Lettre du Psychiatre • Vol. X – no 2 – mars-avril 2014 indique:
Modification notable : le diagnostic syndromique d’épisode mixte disparaît en tant que tel du DSM-5.
Si vous aviez donc un “diagnostic syndromique d’épisode mixte” tant pis pour vous.
Cette revue de professionnels psychiatres le dis :
C’est les labos pharmaceutiques qui commandent et dictent si ceci ou cela doit être ajouté ou supprimé du DSM !
Ce retrait, “il s’agit d’un choix secondaire aux excès de diagnostics d’épisodes mixtes constatés au cours de ces dernières années, sous l’impulsion des industriels du médicament qui souhaitaient promouvoir de nouveaux thymorégulateurs.
Et la revue se servant d’expression très vagues, d’ajouter que “sous antidepresseurs on a encore des épisodes hypomaniaques et maniaques”, c’est dire leur efficacités:
La conséquence de cette modification pourrait être une diminution des diagnostics de troubles bipolaires, qui compensera peut-être l’augmentation liée à l’intégration dans les troubles bipolaires des épisodes hypomaniaques et maniaques survenant sous antidépresseurs.
Psychomédia rapporte:
Attribuer des troubles mal compris à des causes psychologiques est une solution de facilité qui perdure: des troubles comme la fibromyalgie et le syndrome de fatigue chronique se voient souvent attribués des causes psychologiques par les cliniciens. Les symptômes de la sclérose en plaques sont parfois aussi attribués à des causes psychologiques dans les premiers stades de la maladie. (Source)
De qui se moque le DSM ?
On peut noter que “les experts” médicaux du DSM sont au nombre de 350 et que le nombre de désordres répertoriés est de ? 350…
Biensur ces reproches valent aussi pour les autres manuels : DSM 4, DSM 5, DSM 6 les réévaluations étant même de plus en plus catastrophiques.
Pourquoi les psychiatres s’en servent-ils alors ?
On a déjà répondu en partie à la question mais on peut concentrer ses raisons :
l’argent
la reconnaissance
la facilité
la demande du public désinformé
l’aspect politique : le remboursement de la sécurité sociale établie sur ses critères
largement encouragé par l’industrie pharmaceutique
avec la complicité des milieux académiques.
Sur cette page vous apprendrez que, selon l’APA (la puissante Association Psychiatrique Américaine, qui est l’association qui publie dans le monde entier le DSM)
2psychiatres sur 5 souffrent d’épuisement professionnel !
Des psychiatres en burn-out pour soigner des burn-out…
Si autant de psychiatres sont dans un tel état ” d’épuisement professionnel “, on peut émettre des doutes sur l’efficacité des séances qu’ils proposent.
Nul doute qu’en France, les psy sont aussi débordés et surmenés.
Vous pensez-vous appuyer sur quelqu’un de solide ? Un mentor avec un mental fort ? Demandez-lui avant de lui remettre votre santé dans les mains s’il ne souffre pas autant que vous; surtout s’il utilise le DSM !
Et encore un livre à la poubelle! Chaque personne est différente, on ne peut appliquer les mêmes recettes à tout le monde sous prétexte qu’il y ait similarité de symptômes. Un livre dangereux, et nocif.
C’est très inquiétant… et si caractéristique de notre époque. Les “autorités” remettent en cause le traitement du Dr Raoult contre le Covid-19, et ce malgré les résultats concrets et efficaces que son équipe a réalisé. Ces mêmes “autorités” nous informent qu’ils vont réaliser une série de tests pour décider si oui ou non ce traitement est efficace et de fait ordonner aux médecins comment ils doivent exercer leur métier, comme s’il étaient incompétents.
Mais concernant les vaccins existants, obligatoires, uniques ou par lot de 11, rien de cela n’a été fait et nous continuons à nous soumettre à leurs intérêts… Merci Diane de partager vos réflexions et vos connaissances et de nous permettre de nous réveiller.
Ce DSM est une catastrophe de manière générale. On ne prend plus en compte la personne mais ses symptômes !
Et encore un livre à la poubelle! Chaque personne est différente, on ne peut appliquer les mêmes recettes à tout le monde sous prétexte qu’il y ait similarité de symptômes. Un livre dangereux, et nocif.
C’est très inquiétant… et si caractéristique de notre époque. Les “autorités” remettent en cause le traitement du Dr Raoult contre le Covid-19, et ce malgré les résultats concrets et efficaces que son équipe a réalisé. Ces mêmes “autorités” nous informent qu’ils vont réaliser une série de tests pour décider si oui ou non ce traitement est efficace et de fait ordonner aux médecins comment ils doivent exercer leur métier, comme s’il étaient incompétents.
Mais concernant les vaccins existants, obligatoires, uniques ou par lot de 11, rien de cela n’a été fait et nous continuons à nous soumettre à leurs intérêts… Merci Diane de partager vos réflexions et vos connaissances et de nous permettre de nous réveiller.