Vous souffrez d’angoisse ?

Si vous avalez des médicaments, vous remplissez régulièrement les poches d'un ou plusieurs leaders de la pharmacie anti-angoisse. 

On s'en fiche tant qu'on est soulagé !

Très bien, mais encore faut-il que ce soulagement en soit un et soit durable. 

Anxiolytiques :

dans cet article découvrez les incroyables chiffres de la consommation de psychotropes en France et ce qu'elle rapporte aux laboratoires pharmaceutiques.

Pourquoi est-ce important ?
Parce que cela ouvre les yeux sur les enjeux colossaux qui se cachent derrière chaque prescription, derrière votre choix de traitement.

 "Les psychotropes, c'est pour les fous !"

auraient dit beaucoup d'entre vous, il y a quelques années.

Et pourtant, calmants, antidépresseurs, anxiolytiques, sédatifs et relaxants sont tous de puissants psychotropes prescrits, sans grande hésitation, aux patients angoissés, loin d'être fous. 

Résultat:

2 vérités alarmantes :

• la France est le premier pays consommateur de médicaments en Europe
• les Français sont les premiers consommateurs d'antidépresseurs au monde ! 

Question : 

les Français sont-ils plus nuls que le reste de l'humanité pour ne plus arriver à régler individuellement et collectivement leurs problèmes en se passant de pilules psychotropes ? 

Non, les Français ne sont ni plus nuls ni plus faibles, ils sont par contre sûrement plus désinformés.

Un peu d'histoire sur le peuple Français pour comprendre qu'il y a un problème :

Nous sommes un grand peuple, un peuple immense. Nos aïeux furent très longtemps enviés de toute l'Europe.

Le peuple français fut, tout au long de son histoire, un peuple extrêmement fort, habile à se régénérer continuellement avec ingéniosité et vaillance. Des individus de poigne, tournés vers les vrais remèdes, faisant preuve de bon sens et de charité, capables de tranchant et de radicalité. Il n'y a qu'a lire l’excellent "Le moyen âge, une imposture" de Jacques Heers pour comprendre à quel point la France fut rayonnante et puissante.

Un autre ouvrage magnifique rapporte:

Les mœurs, le caractère des Français du XIIIe siècle s'imposent à notre admiration, dès qu'ils ne sont plus dénaturés par une fausse littérature et un manque d'impartialité historique (...) - Ainsi vivaient les Français, d'Armel de Vismes -

De l'aveu même d'un observateur sévère, Joseph-Alphonse de Véri, le peuple Français était alors le plus heureux du monde...

Les Français vivaient-ils à cette époque une vie ouatée, sans soucis ? Croyez-vous qu'il n'y avait pas de sources d'angoisse jadis ? Que s'est-il passé pour que les descendants que nous sommes de toutes ces familles rustiques, travailleuses, joyeuses et visionnaires en soient là ?

On a dénaturé la famille, ciment du peule et exploité, exagéré des tendances naturelles.

• voir aussi

Les 4 pilliers de l'angoisse

Le manque de travail, la sédentarité, la destruction des villages et d'autres facteurs qui seront étudiés dans mon ouvrage en cours de co-écriture: "Du péplum au Valium" sont responsables en grande partie de la situation actuelle du pays.

Les Français sont angoissés et s'ils ne le sont pas encore, on fait en sorte qu'ils le soient.

Il y a une très grosse pharmacie de l'angoisse disponible sur le marché mondial de l’antidépresseur et des anxiolytiques.  Il faut l'écouler.

Cette pharmacie toxique se retrouve facilement sur la table en bois du salon des Français à la moindre baisse de régime.

La preuve :

Pharmacie de l'angoisse : le scandale de la médecine française et occidentale

Scandale en direct: 

Regardez ces statistiques en temps réel sur le nombre de boîtes de Benzodiazépines vendues en France depuis le 1er Janvier, c'est tout simplement consternant.

Au 16 Octobre 2017, on lisait sur ce compteur : 103 MILLIONS de boîtes d'anxiolytiques ont été vendues en France depuis Janvier ;

soit 356 400 boîtes de Benzodiazépine vendues tous les jours ! 

soit encore : 103 millions de boîtes vendues en 289 jours.

Les Français angoissés sont sans distinction inondés de drogues ou de psychotropes par les médecins et les labos. Et pourtant, derrière chaque boîte prescrite, il y a :

• de faux espoirs, des gens trompés, abusés quant aux résultats de ces médicaments
• beaucoup d'argent personnel et social jeté par les fenêtres mais qui au passage fait tourner les usines à drogues
• des accidents parfois mortels dus à la somnolence 
• des troubles du sommeil très important qui se répercutent sur toute leur vie
• des cerveaux et des foies complètement abîmés, menant les personnes vers de très graves problèmes de santé
• une fabrication à grande échelle de drogués, des psychismes qui ont besoin de béquilles, incapables de ne pas être assistés ou soutenus dans leur vie par des molécules artificielles
• des diagnostics faits à la va-vite sans examens approfondis
• des morts: le risque de décès prématuré est 2 fois plus élevé, la consommation de somnifères ou d'anxiolytiques augmente le risque de mortalité de 36% ! Cette consommation trouble la respiration pendant le sommeil et inhibe le système nerveux central, ce qui augmente à la longue le risque de suicide...
• des relations familiales gâchées: comment s'occuper de ses proches, de ses enfants quand on est somnolent, mou, difficilement concentré, l'esprit happé par l'action des drogues médicales ?
• un grand mal-être, une culpabilité de ne pas avoir trouvé d'autre solution à nos angoisses que le très classique recours aux médicaments risqués
• une destruction de l'indignation, du jugement des personnes atteintes: après tout, si des médicaments existent c'est que l'angoisse est très répandue, que je ne peux probablement rien faire contre, que ce n'est pas si grave... 
• des enfants placés en famille d'accueil, retirés à leur mère sous prétexte que" elle est dépressive", "est suivie par un psychiatre "
• etc

Ce que rapporte le juteux business de l'antidépresseur

à env 2.55€ la boîte cela fait :

908 820 €uros par jour soit 262 650 000 €uros en 10 mois

dans la poche de l'industrie rien que pour la France et rien que pour l'Alprazolam !

En termes de quantité de substance à produire :

15 mg de substance par boîte (0.5mg par comprimé x 30) soit 5 346 000 mg de substance addictive disponibles aux patients pour toutes les boites vendues en un seul jour...

A votre santé m'sieurs dames. 

C'est ce que vous devez savoir: 

L'arsenal thérapeutique augmente l'angoisse et le besoin d'antidépresseur

La pharmacie de l'angoisse AUGMENTE l'angoisse sociale, l'angoisse générale et votre angoisse.

Au-delà de ces catastrophes, elle encourage les pouvoirs publics à ne rien faire pour améliorer votre vie quotidienne.

De toute façon, votre angoisse vient de vous. Eux font tout ce qu'il faut pour vous soulager de votre grande sensibilité. En effet, dans leur grande générosité, ils vous donnent les moyens concrets d'y remédier : un gisement off-shore de molécules en " ZAM " et "LAM"  et des PSYCHIATRES pour vous les prescrire.

Tout cela, soit dans un but précis néfaste, il y a alors manipulation, intérêt et volonté de nuire, soit parce qu’ils ont une confiance aveugle dans la médecine moderne, petite-fille obéissante de sa mère l'industrie pharmaceutique. Dans les deux cas vous en faites les frais.

Car oui, aujourd'hui, la vente de ces médicaments (antidépresseurs, somnifères, anxiolytiques etc.) commande.

Elle commande la communauté médicale en encourageant des protocoles médicaux capables de les faire acheter, c'est-à-dire de les vendre, de les utiliser.

Ce qui est inexcusable : dire de façon répétitive et massive qu'il n'y a contre l'angoisse que les médicaments et les psychiatres. Bref, on nous dit qu'il n'y a que la médecine qui soit intellectuellement valide pour soulager les pauvres angoissés trop sensibles. 

En conclusion, soyons clairs. Si vous avez une pathologie héréditaire, génétique, une maladie grave avérée par de multiples examens et plusieurs médecins alors oui, continuez à prendre votre traitement et encore, vérifiez vite les bénéfices/risques après quelques semaines de traitement.

Si vous avez une angoisse conditionnelle, alors attention, DANGER ! Parce qu'il se pourrait bien que là où vous n'avez pas d'angoisse, vous allez à présent en avoir :

• angoisse de manquer de comprimés
• d'être devenu(e) un ou une droguée
• angoisse de détruire ce que vous aviez de santé à cause des effets secondaires
• que la molécule ne marche pas ou plus
• angoisse que le médicament vous fasse plus de bien que de mal
• angoisse d'être à votre tour incapable de surmonter des situations sans pilules etc.
  

Avant le présentoir de la pharmacie, les essais thérapeutiques

La molécule devait soulager la douleur et l'anxiété. L'essai thérapeutique a provoqué l'hospitalisation de six personnes, dont une en état de mort cérébrale.

Autorisé par l'Agence du médicament (ANSM), l'essai est aujourd'hui arrêté.  Il devait porter au total sur 128 volontaires sains, âgés de 18 à 55 ans. D'après la ministre de la Santé Marisol Touraine 90 ont reçu la molécule à "des doses variables" depuis juillet dernier. D'autres ont reçu un placebo, a-t-elle précisé vendredi. Les personnes hospitalisées faisaient partie d'un "même groupe". Celui qui a reçu le médicament de manière répétée à partir du jeudi 7 janvier 2015.

 Le 10 janvier,

Des symptômes se présentent chez une première personne, elle est aujourd'hui en état de mort cérébrale. En premier lieu, cinq autres personnes du groupe témoin ont testé des doses importantes de la molécule. Elles ont été hospitalisées à la suite de "troubles neurologiques de gravité différente".

Il s'agissait uniquement d'hommes, âgés de 28 à 49 ans, qui se connaissaient entre eux. Pour trois d'entre eux, le Dr Pierre-Gilles Edan a évoqué la possibilité de "handicaps irréversibles" (...). D'abord développée par le laboratoire portugais Bial, la molécule était pour la première fois testée sur l'homme par la société Biotrial. C'est un centre de recherche médicale basé à Rennes et spécialisé dans la réalisation d'essais cliniques.

Troubles moteurs liés à des maladies neurodégénératives

Pourtant, cette molécule ne contenait pas de cannabis. Elle avait pour objectif d'augmenter le taux de "cannabinoïdes endogènes". Pour comprendre, on peut dire que ce sont des substances naturelles produites par le corps humain pour lutter contre la douleur et l'anxiété. En effet, selon la ministre, la molécule visait à traiter les troubles de l'humeur et de l'anxiété.

Dans un second temps, elle devait aussi traiter les troubles moteurs liés à des maladies neurodégénératives (comme Alzheimer ou Parkinson). Le but de la phase 1 de l'essai était d'évaluer la sécurité d'emploi et la tolérance de la molécule.  OUPS...

La molécule était prise par voie orale, d'abord en dose unique puis en doses multiples, répétées sur plusieurs jours. Le 11 janvier, le laboratoire Biotrial a décidé l'arrêt prématuré de l'essai. Suite à cela, tous les participants à l'essai devront désormais être contactés et ils seront invités à subir un examen médical au CHU de Rennes.

 

Nous conviendrons également de ceci :  un médicament n'est pas un bonbon   C'est tellement vrai qu'un site internet belge en a fait le titre de sa page.

Il faut croire que les médecins l'ont oublié. Il faut croire qu'ils ignorent tout des angoisses conditionnelles dont on peut se débarrasser sans prendre de médicaments pour peu que le bon diagnostic soit fait (pour savoir si vous avez une angoisse conditionnelle cliquez ici, faites le test). 

Prendre un antidépresseur sur le diagnostic d'un seul médecin, sachant que celui-ci est dangereux car toxique et que vous risquez de ne plus pouvoir vous en passer et alors que tout cela peut être évité est une grave erreur.

Les anxiolytiques peuvent induire des troubles du sommeil. www.atousante.com/troubles-mentaux/

Quoi de plus précieux que le sommeil ? Rien c'est l'instrument numéro un du corps pour être en bonne santé.