Traitement angoisse: vous le savez, il y a une très grosse pharmacie de l'angoisse disponible sur le marché du médicament.
Aujourd'hui, peu importe le type de votre angoisse, à la question:
Docteur, je n'en peux plus, comment soulager mon angoisse ?
en général celui-ci vous répondra:
Prenez ces médicaments et si vos angoisses ne partent pas, allez consulter un psy.
Ne nous voilons pas la face, la majorité des médecins ont peu ou prou cette logique et ce discours. Aux patients qui ont des crises d'angoisse, qui sont très fatigués, qui n'ont pas le moral, qui ne dorment pas bien et qui ont par ailleurs de grosses difficultés dans leur vie, c'est ce traitement-là que le médecin leur préconisera. Pourquoi ? Parce qu'on ne lui a jamais parlé d'angoisses conditionnelles... Elles ne sont pas répertoriées dans le DSM ou le VIDAL...
Traitement angoisse ou traître-ment angoisse ?
Voici la réponse que devrait fournir un vrai spécialiste de la question:
_Docteur, je n'en peux plus, comment soulager mon angoisse ?
_Vous avez raison, vous ne pouvez pas continuer à vivre ainsi. Mais madame, de quelle angoisse précise souffrez-vous ? Sachez que si vous souffrez d'angoisses conditionnelles, vous n'avez pas besoin de médicaments. Vous n'avez probablement pas besoin de psy non plus. Les angoisses conditionnelles cesseront grâce à autre chose.
_ "Autre chose" Docteur ?
_Oui. Si vos angoisses sont conditionnelles, c'est à dire déclenchées à 90 % par des conditions extérieures, il n'y a qu'un seul moyen de soulager vos symptômes : il faut d'abord soulager votre esprit. Il faut trouver ce qui le trouble.
La santé de l'esprit entraîne la santé du corps. On peut être très malade et avoir un esprit sain. Par contre, on ne peut pas avoir un esprit angoissé et ne pas être physiquement malade. Trop de cortisol détruit le corps, il détruit le système nerveux. Voilà d'où vient l'impression d'étranglement et de suffocation. Si votre esprit va mal, votre corps le fera savoir et cela peut être violent.
_ Mais s'il faut soulager mon esprit, pourquoi me dites-vous que je n'ai pas besoin de psy ?
_Pour deux raisons.
D'abord parce que si vous avez des angoisses conditionnelles, c'est que vous n'êtes pas dépressive. Je ne vous donnerai donc pas d'antidépresseurs. Ce point est très important à comprendre. Ensuite, parce que dans ce cas-là, votre esprit n'est pas malade dans le fond, mais il subit des agressions. Ces agressions ne viennent pas du passé, elles sont présentes. Il faut les trouver et les faire stopper.
_Mais comment les trouver ces agressions, docteur ? Ma vie n'est pas parfaite mais je ne vois pas de quoi vous parlez...
_Faites les choses dans l'ordre. D'abord, faites le test sur le site no-angoisse.com pour déterminer si vous souffrez effectivement d'angoisses conditionnelles. Test ici. Si le test est négatif si vous n'avez pas d'angoisse conditionnelle revenez me voir, prenez rendez-vous et nous ferons des examens plus approfondis. S'il est positif, si vous avez des angoisses conditionnelles, suivez les indications du site. Nous devons être sûrs que vous ne pouvez pas vous passer de l'arsenal chimique. Il faut bien que vous preniez conscience de ceci :
Toutes les pilules psychiatriques (stimulants, stabilisateurs de l'humeur, antidépresseurs, antipsychotiques, anxiolytiques, somnifères) fonctionnent en « désactivant » le cerveau. Ce fonctionnement de base est très simple. Tout le monde peut le comprendre même sans avoir fait médecine : les anxiolytiques désactivent, puis détruisent, des fonctions essentielles du cerveau.
Désactiver un cerveau est déjà grave, on joue aux apprentis-sorciers mais le pire n'est pas là. Non contents de le désactiver, ces cachets abîmeront votre cerveau durablement. Une fois qu’on sait cela, on a compris une chose très importante, qui permet d’éviter de tragiques erreurs, et de lourdes conséquences.
Aucun de ces médicaments ne traite ni ne guérit une maladie. Ils sont en ce sens complètement différents des autres médicaments utilisés par la médecine¹. Ces traitements sont très dangereux bien qu’apparemment soulageants. Si je veux que vous alliez mieux, je ne vais pas détruire votre cerveau ! Si vous vivez chez vous, c'est à 99 % sûr que vous n'êtes pas fou ou folle au sens psychiatrique le plus lourd. Quelque chose ne va pas dans votre vie, il n'y a qu'un seul remède : supprimer la ou les sources de votre angoisse.
- En savoir plus :
Certains propos sont inspirés de l’excellent article du site SNI
A partir de quand peut-on parler de génocide? L’industrie pharmaceutique devrait se soigner avec ses propres médicaments…